Iron Maiden déclare la guerre a une marque de sous-vêtements !

Iron Maiden déclare la guerre a une marque de sous-vêtements !
Le groupe de heavy métal pense que cette marque pourrait leur porter préjudice.

Le groupe attaque en justice la marque de sous-vêtements Maiden Wear.

Le groupe de métal Iron Maiden vient d'intenter une action en justice contre la marque de sous-vêtements Maiden Wear. D'après eux, cette nouvelle enseigne pourrait porter préjudice à leur propre ligne de prêt-à-porter, Iron Maiden, qui propose plusieurs types de vêtement tels que des t-shirts, des chemises, des shorts, des maillots, des sweat-shirts et beaucoup d'autres choses. Une autre société se prénommant Maidenform existe depuis 1992 et n'a jamais posé de problème aux interprètes de "Fear of the Dark". Les avocats de ceux qui vont bientôt entamer leur tournée "The Futur Past Tour" ont déposé un dossier auprès de la commission américaine d'examen des marques. Dans ce recours juridique, il est explicité en quoi l'ouverture de cette boutique pourrait porter préjudice au groupe britannique : 

"Le terme dominant de la marque Maiden Wear du demandeur est Maiden et, par conséquent, elle est similaire à la marque Iron Maiden de l’opposant en termes d’apparence et de connotation, ce qui peut prêter à confusion. En outre, les produits présentés dans la demande d’enregistrement de Maiden Wear sont liés ou identiques aux produits couverts par l’enregistrement d’Iron Maiden et/ou pour lesquels l’opposant a acquis des droits de common law aux États-Unis. Ainsi, la marque Maiden Wear de la requérante, lorsqu’elle est utilisée en relation avec les produits décrits dans la demande Maiden Wear, est susceptible de tromper les consommateurs ou de créer une confusion ou une erreur parmi les membres du public et les acheteurs potentiels quant à la source, au parrainage ou à la composition des produits de la requérante par rapport aux produits de l’opposante. Cette confusion portera préjudice à l’opposant et nuira à sa réputation dans le commerce et auprès du public".

Affaire à suivre...